L’envoyé spécial des journalistes en herbe a profité d’une interview au Centre des musiques arabes et méditerranéennes de Sidi Bou Saïd pour se promener dans les rues de ce village proche de Tunis. Nous l’accompagnons dans les rues presque désertes car c’est le mois de février, une période peu prisée par les touristes.
Pour écouter l’interview réalisée au Centre des musiques arabes et méditerranéennes, cliquez ICI.
A croire que nous sommes à Sidi Bou Chaïd.
Approchons-nous.
Au loin, nous pouvons apercevoir Tunis.
Bleu et blanc, les couleurs de la cité.
Ca monte. Nous arrivons dans les hauteurs de Sidi Bou Saïd.
Certaines maisons mériteraient plus d’entretien.
Ces voitures sont la preuve que des humains vivent aussi à Sidi Bou Saïd.
Encore un beau batîment.
Encore une belle maison. Dommage qu’on ne puisse pas y rentrer.
Et toujours des clous qui forment des dessins.
Faisons une halte pour profiter du beau soleil.
Il fait trop beau pour visiter cette belle maison qui abrite un petit musée.
La ballade continue.
La ballade se termine au célèbre café des nattes que de nombreux artistes ont peint, dont Paul Klee.
La peine est récompensée par un beau panorama.
Las pluspart des portes sont peintes en bleu. Il y a des exception, la preuve.
Le plafond de l’entrée est décoré. Qu’est-ce que cela doit être à l’intérieur ?
Le taxi nous dépose à l’entrée du centre historique.
Les ruelles sont étroites et mieux vaut s’y déplacer à pied qu’en voiture.
Nous continuons à suivre le guide.
Pas beaucoup de monde dans les rues en dehors des périodes touristiques.
Quel plaisir de flâner seul dans les ruelles.
Si les fenêtres sont bien gardées, c’est plus par coqueterie que pour se protéger des voleurs.
Un autre habitant... en pleine sieste.
Un passage qui donne envie de s’y aventurer.
Voici un habitant qui semble bien connaître les lieux. Suivons-le.
Zut ! Nous sommes repérés. Tant pis, continuons seul la promenade.