Charbel Rouhana : « Protéger la musique traditionnelle, mais ne pas en être prisonnier »

Publié le 15 février 2016

Charbel Rouhana est un joueur de oud libanais. Il répond aux questions des globe-reporters du collège Camille Claudel de Paris, qui s’intéressent à la musique traditionnelle.

Culture et francophonie

Charbel Rouhana est considéré comme l’un des meilleurs joueurs de oud du Liban. Nous avons réussi à le rencontrer juste avant son départ pour l’Iran, où il donnait un concert.

Sources photographiques

Pochette de l’album « Sourat – Trait d’union »
Pochette de l’album « Sourat – Trait d’union »
Pochette d’une compile de 3CD de Charbel Rouhana
Pochette d’une compile de 3CD de Charbel Rouhana
Charbel Rouhana et son oud
Charbel Rouhana et son oud
Pochette de l’album « Sourat – Trait d’union »
Pochette d’une compile de 3CD de Charbel Rouhana
Charbel Rouhana et son oud

Sources sonores

  • La musique traditionnelle est-elle accompagnée de chants et de danses, ou bien existe-t-il un répertoire uniquement instrumental ?

  • Certains morceaux sont-ils joués uniquement lors de fêtes religieuses ou familiales ?

  • Du fait de la grande diversité de la population libanaise, diriez-vous que la musique a su depuis très longtemps intégrer des influences diverses ? Lesquelles ?

  • Pensez-vous que la musique traditionnelle se perd ou bien qu’elle est toujours bien vivante au Liban ?

  • La guerre a-t-elle eu une influence sur la musique traditionnelle ?

  • Billazi Askara (traditionnel) de l’album « Sourat – Trait d’union »

  • « Lamma Bada Yatassanna » (traditionnel) de l’album « Sourat – Trait d’union »

  • « Ya Mijana » (folklore) de l’album « Sourat – Trait d’union »