Le bénévolat, un engagement bénéfique pour Romain

Publié le 25 janvier 2016

Depuis neuf mois, Romain Tronc, un jeune Français, est bénévole pour différentes ONG au Liban. Il fait part de son expérience du volontariat.

Droits humains et solidarité

Diplômé en droit et en sciences politiques, Romain Tronc est arrivé au Liban en 2015, pour faire du bénévolat. Il a d’abord travaillé dans le cadre d’une mission de recyclage des déchets. Puis, pendant six mois, il a été actif au sein de l’ONG « Children and youth centre », qui oeuvre dans le camp de réfugiés de Chatila, à Beyrouth. Il raconte aux globe-reporters à quoi servent les ONG et leurs bénévoles, et pourquoi il a souhaité s’engager dans des missions de solidarité. 

Sources photographiques

Dans le cadre d’une mission, Romain a passé deux semaines à Akkar, dans le nord, une région très pauvre et très proche de la frontière syrienne. Une cinquantaine de dessins réalisés par des enfants syriens réfugiés là lui ont été présentés.
Dans le cadre d’une mission, Romain a passé deux semaines à Akkar, dans le nord, une région très pauvre et très proche de la frontière syrienne. Une cinquantaine de dessins réalisés par des enfants syriens réfugiés là lui ont été présentés.
Ces dessins ont été réalisés dans le cadre d’un atelier de thérapie par l’art, mis en place bénévolement par une pédopsychiatre allemande.
Ces dessins ont été réalisés dans le cadre d’un atelier de thérapie par l’art, mis en place bénévolement par une pédopsychiatre allemande.
Beaucoup d’enfants syriens ont été témoins de drames. Ils ont vu des choses difficiles en Syrie, parfois ils ont perdu leurs parents.
Beaucoup d’enfants syriens ont été témoins de drames. Ils ont vu des choses difficiles en Syrie, parfois ils ont perdu leurs parents.
L’art peut être un moyen de faire ressortir les traumatismes refoulés et aider les enfants à aller de l’avant, à se débarrasser de souvenirs douloureux, explique Romain.
L’art peut être un moyen de faire ressortir les traumatismes refoulés et aider les enfants à aller de l’avant, à se débarrasser de souvenirs douloureux, explique Romain.
Galerie de dessins d’enfants syriens réfugiés au Liban.
Galerie de dessins d’enfants syriens réfugiés au Liban.
Dans le cadre d’une mission, Romain a passé deux semaines à Akkar, dans le nord, une région très pauvre et très proche de la frontière syrienne. Une cinquantaine de dessins réalisés par des enfants syriens réfugiés là lui ont été présentés.
Ces dessins ont été réalisés dans le cadre d’un atelier de thérapie par l’art, mis en place bénévolement par une pédopsychiatre allemande.
Beaucoup d’enfants syriens ont été témoins de drames. Ils ont vu des choses difficiles en Syrie, parfois ils ont perdu leurs parents.
L’art peut être un moyen de faire ressortir les traumatismes refoulés et aider les enfants à aller de l’avant, à se débarrasser de souvenirs douloureux, explique Romain.
Galerie de dessins d’enfants syriens réfugiés au Liban.

Sources sonores

  • Qu’est-ce qu’une ONG ?

  • Pour quelle ONG avez-vous travaillé ? Qu’est-ce que vous y avez fait ?

  • Qui travaille dans une ONG ?

  • Faut-il être spécialement formé ?

  • Quelle est la motivation des volontaires ?

  • Est-ce qu’on y gagne quelque chose, même si ce n’est pas de l’argent ?

  • Pouvez-vous nous raconter l’histoire des dessins d’enfants qui illustrent cet article ?

  • Souhaitez-vous rajouter quelque chose ?