« Il n’y a pas encore d’histoire commune de la guerre civile »

Publié le 26 janvier 2016

Robin, du lycée Philippe de Girard, à Avignon, s’intéresse à la mémoire de la guerre civile. Le chercheur Nicolas Dot-Pouillard répond à ses questions.

Economie, histoire et politique

« La mémoire est omniprésente au Liban », explique Nicolas Dot-Pouillard, chercheur à l’Institut français du Proche-Orient. Les stigmates de la guerre qui a déchiré le Liban entre 1975 et 1990 sont encore là, dit-il, mais en même temps le travail de mémoire tarde à se faire.

L’hôtel Holiday Inn de Beyrouth, bâtiment emblématique de la guerre civile libanaise. Il est resté depuis en l’état (voir ce reportage de France Info). Crédit photo : Flickr/Kerimcan Akduman/Creative Commons.

Sources sonores

  • Pourquoi vous intéressez-vous, en tant que chercheur, à la question de la mémoire au Liban ?

  • Pourquoi n’y a-t-il pas de mémorial aux morts de la guerre civile au Liban ?

  • Pourquoi cette période de l’histoire n’est-elle pas enseignée à l’école ?

  • Quelles sont les modalités d’expressions individuelles et collectives au Liban depuis 1975 sur le sujet de la guerre civile ?

  • Pourquoi le gouvernement a-t-il mis en place la loi d’amnistie et n’a pas instauré une mémoire nationale ?

  • Comment l’assassinat du Président Bachir Gemayel a-t-il été vécu par les chrétiens ? Par les autres communautés libanaises non-chrétiennes ?

  • Qui nous conseillez-vous de rencontrer pour poursuivre notre enquête sur ce sujet ?

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  • Région PACA
  • Institut français du Liban
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