"Quand je n’écris pas quelque chose de grave me manque", F G Bussac.

Publié le 9 février 2013

L’écrivain François G Bussac, qui vit en Tunisie, répond aux questions des journalistes en herbe du collège Poquelin, à Paris.

Culture et francophonie

La page Facebook de François G Bussac.

Pour écouter la lecture de la chronique de l’écrivain en réaction à l’assassinat du militant politique Choukri Belaïd, le 6 février 2013, à Tunis, cliquez ICI.

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Sources photographiques

Au deuxième étage, le logement que l’écrivain appelle le sémaphore.
Au deuxième étage, le logement que l’écrivain appelle le sémaphore.
Des pêcheurs au travail.
Des pêcheurs au travail.
La Goulette, où vit l’écrivain.
La Goulette, où vit l’écrivain.
La rue où vit l’écrivain.
La rue où vit l’écrivain.
Les rives du canal sont colorées.
Les rives du canal sont colorées.
Nous y sommes presque.
Nous y sommes presque.
Au deuxième étage, le logement que l’écrivain appelle le sémaphore.
Des pêcheurs au travail.
La Goulette, où vit l’écrivain.
La rue où vit l’écrivain.
Les rives du canal sont colorées.
Nous y sommes presque.

Sources sonores

  • Avez-vous des contacts avec vos lecteurs ?

  • Ce pays est-il une source d’inspiration ?

  • Ecrire, est-ce une passion ?

  • Enfant, aimiez-vous les livres ?

  • Enfant, rêviez de devenir écrivain ?

  • Est-il difficile d’écrire ? De publier ?

  • Pouquoi avoir choisi de vivre en Tunisie ?

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  • Quel est le point commun à tous vos livres ?

  • Vos livres sont-ils disponibles dans les deux pays ?