Au Congo, les danses traditionnelles accompagnent les grands moments de la vie

Publié le 26 février 2014

Chito Lwambo Alexandre a 27 ans et habite à Bukavu. Il danse depuis l’âge de 7 ans. Chito a étudié la danse dans la ville voisine de Goma, à Kinshasa, mais aussi en Sénégal, au Burkina Faso et en Ouganda.

2013/2014 - RDC

Chito Lwombo Alexandre © Globe Reporters 2014

Depuis quelques temps, Chito et son frère jumeau, Chiko, étudient les danses traditionnelles pour les déconstruire et faire des chorégraphies modernes. Ils s’inspirent surtout des danses de différentes ethnies de l’Est de la RDC comme les banyamulenges, les baffulero, les mashi.

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Sources sonores

  • Comment vous présenter ?

  • Est-ce que les danses traditionnelles comme MAPASSA (danse des jumeaux), MOUDZIRI (danse pour le rétablissement des malades), INTORE ou ESSOMBI (danse pour les mariages) sont encore pratiquées ?

  • Est-ce que les hommes, les femmes et les enfants dansent ensemble ?

  • Est-ce que les jeunes s’intéressent encore à ces danses traditionnelles ou préfèrent-ils écouter et danser sur d’autres musiques ?

  • Existe-t-il d’autres danses traditionnelles qui ont des significations particulières ?

  • Existe-t-il des groupes de musiciens et de danseurs qui se produisent dans des spectacles ?

  • Pour apprendre ces danses existe-t-il des écoles de danse ou des associations qui forment des danseurs ?

  • Pourquoi existe-t-il une danse spéciale pour célébrer la naissance des jumeaux ?

  • Pouvez-vous nous décrire l’une de ces danses et traduire quelques paroles de chants traditionnels ?

  • Quelle est la danse la plus spectaculaire ?

  • Quels sont les artistes les plus connus dans le domaine de la chanson et de la danse à Bukavu ?

  • Y a-t-il une fête de la musique ou une journée consacrée plus spécialement à la musique, à la danse où toutes les ethnies se rassemblent et font la fête ?