En Tunisie, les droits de l’enfant sont une lutte quotidienne

Publié le 17 mars 2015

Mihyar Hamadi, délégué général à la protection de l’enfance en Tunisie, répond aux globe-reporters du collège Sœur Rosalie de Paris.

Education et jeunesse

La lutte contre le travail des enfants est un grand chantier de la nouvelle Tunisie.

L’article 47 de la Constitution de janvier 2014 garantie les droits des enfants

Il existe un site Internet dédié du ministère tunisien de la femme et de l’enfance.

Sources sonores

  • Avez-vous des chiffres concernant le travail des garçons et des petites filles ?

  • Avez-vous les moyens de mener à bien ce plan ? Allez-vous avoir davantage de financements ?

  • Comment lutter contre l’abandon scolaire ?

  • Font-ils des travaux illégaux (vols, deal de drogue…) ?

  • Le ministère des Affaires sociales a lancé en mai dernier un plan d’action national (PAN) de lutte contre le travail des enfants en Tunisie en collaboration avec le Bureau international du travail (B.I.T) et le programme international pour l’abolition du travail des enfants (IPEC). En quoi consiste-t-il ?

  • Les enfants en Tunisie effectuent-ils parfois des travaux dangereux ?

  • Les enfants qui travaillent gagnent-ils le même salaire que les adultes, si non leur salaire est il plus ou moins élevé que celui des adultes ?

  • Les enfants sont-ils punis s’ils font mal leur travail ?

  • Les filles font elles les mêmes travaux que les garçons ?

  • Nous avons trouvé que la Tunisie a signé et ratifié la Convention internationale des droits de l’enfant du coup comment le travail des enfants est-il contrôlé ou puni par la loi ?

  • Nous n’arrivons pas à trouver de chiffre exact sur le nombre d’enfants qui travaillent en Tunisie. Pouvez-vous nous aider ?

  • Si des familles sont dans l’obligation de faire travailler leurs enfants est-ce en partie parce que le système d’allocations familiales n’est pas adapté ?

  • Sont-ils forcés à travailler ? Si oui par qui ? Pourquoi ?

  • Y a-t-il d’autres formes d’aides ?

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