Voulez-vous des dollars ou des livres libanaises ?

Publié le 10 janvier 2016

L’envoyé spécial des globe-reporters arrive à Beyrouth. Première mission : activer une puce téléphone et changer de l’argent.

Carnet de route

Arrivé à Beyrouth, le sac à dos posé, avant de contacter des personnes pour leur soumettre les questions des globe-reporters, j’ai besoin :

- d’activer une puce téléphone pour que je puisse téléphoner et qu’on puisse me joindre.

- de changer les euros que j’ai emportés.

« Il faut aller au ABC », me dit Pascal, un enseignant français chez qui je loge.

Sources photographiques

Aéroport Roissy Charles de Gaulle, terminal 2, embarquement pour Beyrouth à bord de la compagnie Middle East Airlines qui est la compagnie aérienne nationale libanaise.
Aéroport Roissy Charles de Gaulle, terminal 2, embarquement pour Beyrouth à bord de la compagnie Middle East Airlines qui est la compagnie aérienne nationale libanaise.
L’avion est quasiment complet. Les passagers ont beaucoup de bagages. Mon siège est le 40H.
L’avion est quasiment complet. Les passagers ont beaucoup de bagages. Mon siège est le 40H.
L’emblème de la MEA, le fameux cèdre libanais.
L’emblème de la MEA, le fameux cèdre libanais.
À peine 4h00 de vol et nous voici au Liban.
À peine 4h00 de vol et nous voici au Liban.
Je loge dans le quartier Achrafief. Depuis 1909, s’y trouve le Grand Lycée franco-libanais. Le quartier est une zone commerciale, résidentielle, artistique et culturelle importante. Il est l’un des plus riches de Beyrouth.
Je loge dans le quartier Achrafief. Depuis 1909, s’y trouve le Grand Lycée franco-libanais. Le quartier est une zone commerciale, résidentielle, artistique et culturelle importante. Il est l’un des plus riches de Beyrouth.
Le quartier semble en mutation. Des immeubles modernes poussent.
Le quartier semble en mutation. Des immeubles modernes poussent.
Le moderne fait face à l’ancien qui porte encore les cicatrices de la guerre.
Le moderne fait face à l’ancien qui porte encore les cicatrices de la guerre.
Présent et passé peuvent aussi se côtoyer.
Présent et passé peuvent aussi se côtoyer.
Sur les plaques des rues, il y a suffisamment de place pour l’arabe et le français.
Sur les plaques des rues, il y a suffisamment de place pour l’arabe et le français.
Le quartier Achrafief est un quartier chrétien de l’est de Beyrouth. Pendant la Guerre du Liban, Achrafieh devient la base des milices chrétiennes. Il y a des églises.
Le quartier Achrafief est un quartier chrétien de l’est de Beyrouth. Pendant la Guerre du Liban, Achrafieh devient la base des milices chrétiennes. Il y a des églises.
C’est dimanche. L’église est ouverte.
C’est dimanche. L’église est ouverte.
Par contre, les commerces sont fermés.
Par contre, les commerces sont fermés.
Pour trouver un magasin ouvert, il faut que je me rende dans le centre commercial ABC. Ce n’est pas bien loin et il fait un beau soleil. Nous sommes en janvier mais le thermomètre avoisine les 18 degrés. Je peux y aller à pied.
Pour trouver un magasin ouvert, il faut que je me rende dans le centre commercial ABC. Ce n’est pas bien loin et il fait un beau soleil. Nous sommes en janvier mais le thermomètre avoisine les 18 degrés. Je peux y aller à pied.
Une première impression : il y a des chantiers un peu partout.
Une première impression : il y a des chantiers un peu partout.
Beyrouth pousse vers le ciel.
Beyrouth pousse vers le ciel.
Me voici arrivé à l’ABC.
Me voici arrivé à l’ABC.
Un centre commercial comme on en voit dans le monde entier. Sous le soleil de Beyrouth, il brille plus qu’ailleurs.
Un centre commercial comme on en voit dans le monde entier. Sous le soleil de Beyrouth, il brille plus qu’ailleurs.
Des lieux où se restaurer.
Des lieux où se restaurer.
Des boutiques de mode et des soldes.
Des boutiques de mode et des soldes.
Un petit tour aux toilettes. La classe !
Un petit tour aux toilettes. La classe !
Voilà la boutique que je cherchais. Je vais pouvoir y acheter une puce pour mon téléphone. Mais avant, je dois passer au bureau de change. Je n’ai que des euros. « Vous voulez des dollars ou des livres libanaises ? », me demande l’employé. Quelle drôle de question ! On utilise des dollars au Liban ? Il faut mener l’enquête.
Voilà la boutique que je cherchais. Je vais pouvoir y acheter une puce pour mon téléphone. Mais avant, je dois passer au bureau de change. Je n’ai que des euros. « Vous voulez des dollars ou des livres libanaises ? », me demande l’employé. Quelle drôle de question ! On utilise des dollars au Liban ? Il faut mener l’enquête.
Aéroport Roissy Charles de Gaulle, terminal 2, embarquement pour Beyrouth à bord de la compagnie Middle East Airlines qui est la compagnie aérienne nationale libanaise.
L’avion est quasiment complet. Les passagers ont beaucoup de bagages. Mon siège est le 40H.
L’emblème de la MEA, le fameux cèdre libanais.
À peine 4h00 de vol et nous voici au Liban.
Je loge dans le quartier Achrafief. Depuis 1909, s’y trouve le Grand Lycée franco-libanais. Le quartier est une zone commerciale, résidentielle, artistique et culturelle importante. Il est l’un des plus riches de Beyrouth.
Le quartier semble en mutation. Des immeubles modernes poussent.
Le moderne fait face à l’ancien qui porte encore les cicatrices de la guerre.
Présent et passé peuvent aussi se côtoyer.
Sur les plaques des rues, il y a suffisamment de place pour l’arabe et le français.
Le quartier Achrafief est un quartier chrétien de l’est de Beyrouth. Pendant la Guerre du Liban, Achrafieh devient la base des milices chrétiennes. Il y a des églises.
C’est dimanche. L’église est ouverte.
Par contre, les commerces sont fermés.
Pour trouver un magasin ouvert, il faut que je me rende dans le centre commercial ABC. Ce n’est pas bien loin et il fait un beau soleil. Nous sommes en janvier mais le thermomètre avoisine les 18 degrés. Je peux y aller à pied.
Une première impression : il y a des chantiers un peu partout.
Beyrouth pousse vers le ciel.
Me voici arrivé à l’ABC.
Un centre commercial comme on en voit dans le monde entier. Sous le soleil de Beyrouth, il brille plus qu’ailleurs.
Des lieux où se restaurer.
Des boutiques de mode et des soldes.
Un petit tour aux toilettes. La classe !
Voilà la boutique que je cherchais. Je vais pouvoir y acheter une puce pour mon téléphone. Mais avant, je dois passer au bureau de change. Je n’ai que des euros. « Vous voulez des dollars ou des livres libanaises ? », me demande l’employé. Quelle drôle de question ! On utilise des dollars au Liban ? Il faut mener l’enquête.

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