T’as pas 5 minutes ? (pour les sans-abris)

Publié le 10 janvier 2021

Yasmine, Louise, Jasmine, Nina, Jean-Baptiste, Charlotte, Octave, Maëlyss et Léah sont sensibles à la question des sans-abris. Tous et toutes ont le cœur serré quand ils et elles voient des personnes à la rue. Pourquoi ces personnes sont-elles dehors ? Comment peut-on les aider ? Lola BAHRI, de l’association La cloche, leur répond.

Droits humains, solidarités et citoyenneté

Yasmine, Louise, Jasmine, Nina, Jean-Baptiste, Charlotte, Octave, Maëlyss et Léah, de l’école 57 B Reuilly à Paris, missionnent leur envoyée spéciale, la journaliste Valérie ROHART, pour en savoir plus. Valérie prend contact avec Lola BAHRI. Lola est coordinatrice Ouest de Paris pour l’association « La Cloche » qui vient en aide aux sans-abris.

Lola BAHRI donne rendez-vous à notre envoyée spéciale au « Bar Commun ». C’est un café associatif qui permet à l’association La cloche d’accueillir les sans-abris le jeudi après-midi autour d’un café. Cette rencontre régulière permet de maintenir un lien avec ces personnes, de les écouter et de les aider dans leurs difficultés.

La Cloche leur fournit notamment des coupons. Ces coupons sont fournis par des commerçants qui sont solidaires. Avec ses coupons, les personnes qui dorment dans la rue peuvent recevoir de la nourriture ou des services comme laver leurs affaires au pressing ou aller au coiffeur.

Ce jeudi 7 janvier 2021, Alexandre participe à la rencontre. C’est un jeune homme qui effectue un service civique, c’est-à-dire une sorte de stage qui lui permet de voir si le travail lui plait. Le jour du reportage, c’est lui qui fait la distribution des coupons qui permettront aux sans-abris de bénéficier de biens et de services gratuitement.

Un reportage réalisé le 9 janvier 2021

Sources photographiques

Le bar commun est un café associatif. Son propriétaire n’est pas une personne, mais une association). Au moment du reportage, il est fermé comme tous les autres cafés parisiens sauf pour permettre aux sans-abris de se retrouver le jeudi après-midi, c’est essentiel pour eux © Globe Reporters
Le bar commun est un café associatif. Son propriétaire n’est pas une personne, mais une association). Au moment du reportage, il est fermé comme tous les autres cafés parisiens sauf pour permettre aux sans-abris de se retrouver le jeudi après-midi, c’est essentiel pour eux © Globe Reporters
Lola BAHRI travaille pour l’association La Cloche qui organise ces rencontres. Elle reçoit le jeudi après-midi les sans-abris dans le Bar Commun pour leur donner du réconfort et une aide matérielle © Globe Reporters
Lola BAHRI travaille pour l’association La Cloche qui organise ces rencontres. Elle reçoit le jeudi après-midi les sans-abris dans le Bar Commun pour leur donner du réconfort et une aide matérielle © Globe Reporters
Les personnes sans logement apprécient beaucoup sa gentillesse et sa joie de vivre © Globe Reporters
Les personnes sans logement apprécient beaucoup sa gentillesse et sa joie de vivre © Globe Reporters
Il y a plein d’inscriptions sur les murs du Bar commun © Globe Reporters
Il y a plein d’inscriptions sur les murs du Bar commun © Globe Reporters
Alexandre est en service civique auprès de l’association La Cloche. C’est la fin de ses études et cela lui permet de voir si c’est le travail qu’il veut faire © Globe Reporters
Alexandre est en service civique auprès de l’association La Cloche. C’est la fin de ses études et cela lui permet de voir si c’est le travail qu’il veut faire © Globe Reporters
Alexandre distribue des tickets : les sans-abris peuvent échanger ces bons contre de la nourriture ou des services comme le coiffeur par exemple © Globe Reporters
Alexandre distribue des tickets : les sans-abris peuvent échanger ces bons contre de la nourriture ou des services comme le coiffeur par exemple © Globe Reporters
Des commerçants sont solidaires et offrent de la nourriture ou des services à La cloche. Ils donnent des bons à l’association et c’est elle qui les remet aux sans-abris © Globe Reporters
Des commerçants sont solidaires et offrent de la nourriture ou des services à La cloche. Ils donnent des bons à l’association et c’est elle qui les remet aux sans-abris © Globe Reporters
L’association La cloche fait des « maraudes » : c’est à dire que ses membres se promènent dans les rues de Paris pour aider les sans-abris. C’est l’occasion d’expliquer à ces personnes qu’elles peuvent venir aux moments de rencontres © Globe Reporters
L’association La cloche fait des « maraudes » : c’est à dire que ses membres se promènent dans les rues de Paris pour aider les sans-abris. C’est l’occasion d’expliquer à ces personnes qu’elles peuvent venir aux moments de rencontres © Globe Reporters
Lola BAHRI est à l’écoute des difficultés, mais aussi pour rire et partager un moment sympathique avec eux © Globe Reporters
Lola BAHRI est à l’écoute des difficultés, mais aussi pour rire et partager un moment sympathique avec eux © Globe Reporters
Alexandre note les bons qui sont donnés aux sans-abris © Globe Reporters
Alexandre note les bons qui sont donnés aux sans-abris © Globe Reporters
Se faire couper les cheveux, rester propre, laver ses vêtements est aussi important que d’avoir de la nourriture quand on est à la rue © Globe Reporters
Se faire couper les cheveux, rester propre, laver ses vêtements est aussi important que d’avoir de la nourriture quand on est à la rue © Globe Reporters
La boîte à bons est un trésor pour les sans-abris © Globe Reporters
La boîte à bons est un trésor pour les sans-abris © Globe Reporters
Portrait d’Alexandre © Globe Reporters
Portrait d’Alexandre © Globe Reporters
Le bar étant fermé, il n’est pas chauffé et le premier geste pour accueillir les sans-abris est de leur offrir une boisson chaude © Globe Reporters
Le bar étant fermé, il n’est pas chauffé et le premier geste pour accueillir les sans-abris est de leur offrir une boisson chaude © Globe Reporters
Virginie est bénévole pour l’association, elle donne de son temps à l’association. Virginie travaillait dans les assurances et souhaite changer de travail et aller vers l’économie sociale et solidaire. Les sans-abris l’apprécient beaucoup © Globe Reporters
Virginie est bénévole pour l’association, elle donne de son temps à l’association. Virginie travaillait dans les assurances et souhaite changer de travail et aller vers l’économie sociale et solidaire. Les sans-abris l’apprécient beaucoup © Globe Reporters
Le bar commun n’est pas le seul lieu d’accueil de l’association La cloche © Globe Reporters
Le bar commun n’est pas le seul lieu d’accueil de l’association La cloche © Globe Reporters
Une liste des lieux où les sans-abris peuvent retrouver l’aide de l’association © Globe Reporters
Une liste des lieux où les sans-abris peuvent retrouver l’aide de l’association © Globe Reporters
Le bar commun est un café associatif. Son propriétaire n’est pas une personne, mais une association). Au moment du reportage, il est fermé comme tous les autres cafés parisiens sauf pour permettre aux sans-abris de se retrouver le jeudi après-midi, c’est essentiel pour eux © Globe Reporters
Lola BAHRI travaille pour l’association La Cloche qui organise ces rencontres. Elle reçoit le jeudi après-midi les sans-abris dans le Bar Commun pour leur donner du réconfort et une aide matérielle © Globe Reporters
Les personnes sans logement apprécient beaucoup sa gentillesse et sa joie de vivre © Globe Reporters
Il y a plein d’inscriptions sur les murs du Bar commun © Globe Reporters
Alexandre est en service civique auprès de l’association La Cloche. C’est la fin de ses études et cela lui permet de voir si c’est le travail qu’il veut faire © Globe Reporters
Alexandre distribue des tickets : les sans-abris peuvent échanger ces bons contre de la nourriture ou des services comme le coiffeur par exemple © Globe Reporters
Des commerçants sont solidaires et offrent de la nourriture ou des services à La cloche. Ils donnent des bons à l’association et c’est elle qui les remet aux sans-abris © Globe Reporters
L’association La cloche fait des « maraudes » : c’est à dire que ses membres se promènent dans les rues de Paris pour aider les sans-abris. C’est l’occasion d’expliquer à ces personnes qu’elles peuvent venir aux moments de rencontres © Globe Reporters
Lola BAHRI est à l’écoute des difficultés, mais aussi pour rire et partager un moment sympathique avec eux © Globe Reporters
Alexandre note les bons qui sont donnés aux sans-abris © Globe Reporters
Se faire couper les cheveux, rester propre, laver ses vêtements est aussi important que d’avoir de la nourriture quand on est à la rue © Globe Reporters
La boîte à bons est un trésor pour les sans-abris © Globe Reporters
Portrait d’Alexandre © Globe Reporters
Le bar étant fermé, il n’est pas chauffé et le premier geste pour accueillir les sans-abris est de leur offrir une boisson chaude © Globe Reporters
Virginie est bénévole pour l’association, elle donne de son temps à l’association. Virginie travaillait dans les assurances et souhaite changer de travail et aller vers l’économie sociale et solidaire. Les sans-abris l’apprécient beaucoup © Globe Reporters
Le bar commun n’est pas le seul lieu d’accueil de l’association La cloche © Globe Reporters
Une liste des lieux où les sans-abris peuvent retrouver l’aide de l’association © Globe Reporters

Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter ? Que fait l’association « La Cloche » ?

  • Question bonus : où sommes-nous dans cet endroit ?

  • Est-ce qu’on peut donner de l’argent aux sans-abris pour qu’ils se logent ?

  • Est-ce qu’on peut construire des cabanes pour les sans-abris ?

  • Pourquoi les sans-abris ont perdu leur logement ?

  • Pourquoi parfois certains sans-abris ne veulent pas aller dans des logements ?

  • Pourquoi les personnes qui ont un grand appartement ne veulent pas abriter les sans-abris ?

  • Est-ce qu’on pourrait construire une grande maison pour loger des sans-abris ?

  • Pourquoi les enfants sans abri ne dorment pas dans des écoles ?

  • Pourquoi on ne laisse pas les sans-abris dormir dans le métro ?

  • Pourquoi les sans-abris ne construisent pas leur propre maison ?

  • Pourquoi les sans-abris ne demandent pas un travail pour se loger ?

  • Pourrait-on adopter des enfants qui sont sans abri ?

  • Pourquoi les hôtels n’hébergent pas des sans-abris ?

  • Pourquoi on ne donne pas des tentes à tous les sans-abris ?

  • Question bonus : pourquoi vous êtes-vous engagée auprès des sans-abris ?

Téléchargements

Les partenaires de la campagne

  • 05 CLEMI de Paris
  • 01 Ministère de la Culture et de la Communication